Le « super » sera retiré des stations-services en 2021

Les stations-services de Naftal ne serviront plus le carburant « super » à compter de 2021. C’est ce qu’a annoncé Rachid Nadil président de l’Autorité de régulation des hydrocarbures, affirmant que l’on maintient seulement l’essence sans plomb.
Pour ce faire, les premières expérimentations seront effectuées en mois d’octobre prochain.
« Le retrait de l’essence super commencera à partir du début de l’année 2021, mais nous envisageons d’entamer les expérimentations en mois d’octobre avec des tests au niveau des raffineries » a-t-il déclaré en marge d’une visite de travail vendredi effectuée avec le ministre de l’Energie à Annaba.
Evoquant les raisons de cette décision, le président de l’Autorité de régulation des hydrocarbures a expliqué qu’elles sont d’ordre économique et environnemental, au vu de la décision du gouvernement d’arrêter l’importation des carburants , s’ajoute à cela les effets néfastes que pourrait engendrer l’usage de ce produit sur la santé publique et l’environnement.
Pour sa part, le ministre de l’Energie, Abdelmadjid Attar, a estimé que la décision d’arrêter la commercialisation de carburant « super » rentre dans le cadre des nouvelles orientations économiques du pays, visant à réduire au maximum la facture des importations. Ce qui, explique le ministre, permettra d’économiser des sommes « non négligeables », qui seront destinées à des investissements dans d’autres projets, notamment ceux de développement et des infrastructures de base.« Sonatrach a un projet pour traiter l’essence et produire un seul type de carburant et l’étude est en cours. Cela permettra de réduire nos importations en matières de carburants, d’autant plus que l’essence super et gasoil sont des produits importés », a-t-il dit.
Il a, à ce titre, démenti les rumeurs portant le retrait de l’essence « super » des stations-services à partir du premier octobre prochain.
Il est utile de rappeler sue le président de la République, Abdelmadjid Tebboune avait exhorté le gouvernement lors de la Conférence nationale sur la relance économique, tenue en août passé, d’interdire l’importation du carburant et huiles à compter de 2021. « À partir de 2012, il sera interdit d’importer ne serait-ce qu’un litre de carburant et c’est valable pour le phosphate et autres matières premières. Il faut que nous valorisions nos matières premières », avait martelé le chef de l’Etat.
« Le retrait de l’essence super commencera à partir du début de l’année 2021, mais nous envisageons d’entamer les expérimentations en mois d’octobre avec des tests au niveau des raffineries » a-t-il déclaré en marge d’une visite de travail vendredi effectuée avec le ministre de l’Energie à Annaba.
Evoquant les raisons de cette décision, le président de l’Autorité de régulation des hydrocarbures a expliqué qu’elles sont d’ordre économique et environnemental, au vu de la décision du gouvernement d’arrêter l’importation des carburants , s’ajoute à cela les effets néfastes que pourrait engendrer l’usage de ce produit sur la santé publique et l’environnement.
Pour sa part, le ministre de l’Energie, Abdelmadjid Attar, a estimé que la décision d’arrêter la commercialisation de carburant « super » rentre dans le cadre des nouvelles orientations économiques du pays, visant à réduire au maximum la facture des importations. Ce qui, explique le ministre, permettra d’économiser des sommes « non négligeables », qui seront destinées à des investissements dans d’autres projets, notamment ceux de développement et des infrastructures de base.« Sonatrach a un projet pour traiter l’essence et produire un seul type de carburant et l’étude est en cours. Cela permettra de réduire nos importations en matières de carburants, d’autant plus que l’essence super et gasoil sont des produits importés », a-t-il dit.
Il a, à ce titre, démenti les rumeurs portant le retrait de l’essence « super » des stations-services à partir du premier octobre prochain.
Il est utile de rappeler sue le président de la République, Abdelmadjid Tebboune avait exhorté le gouvernement lors de la Conférence nationale sur la relance économique, tenue en août passé, d’interdire l’importation du carburant et huiles à compter de 2021. « À partir de 2012, il sera interdit d’importer ne serait-ce qu’un litre de carburant et c’est valable pour le phosphate et autres matières premières. Il faut que nous valorisions nos matières premières », avait martelé le chef de l’Etat.
La facture d’importation de cette matière est très salée pour l’Etat, qui débourse des milliards de dollars, afin de satisfaire la demande nationale en la matière.
Ainsi, le gouvernement, compte sur les raffineries que dispose le pays pour contenir les besoins nationaux. Des travaux de rénovation et de réhabilitation ont été engagés en 2011 dans toutes les installations existantes.
Les raffineries de Skikda, de Sidi R’cine à Baraki (sud-est d’Alger) et celle d’Arzew sont censées renforcer leurs capacités de production, en sus de la mise aux normes de leurs produits pétroliers.